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Paris je t'aime



Paris je t'aime

Compilation de courts métrages (France)

18 courts métrages de 5 minutes ayant pour thèeme l'amour à Paris.


Pas facile de porter un jugement sur ce film étant donné qu'il est différent. En synthétisant et avant de parler des courts un par un, on peut dire que ce film est vraiment immanquable. Tant de grands noms, tant d'acteurs de renom sur un seul projet c'est à lui seul un événement. Chaque court métrage est différent. Certains sont dramatiques, d'autres touchants, d'autres encore sont drôles. Certains sont sociaux d'autres fantastiques bref chaque film est différent et tous ont leur inétrêt. Bref si je mets 5 étoiles c'est par ce que ce projet est un des plus beaux projets de ces dernières années. Varié et magnifique vraiment Le film à ne pas louper en ce moment. Tout le monde en trouvera pour son gout, ce film fait aimer. Aimer la vie, aimer Paris, aimer le cinéma, aimer l'amour... Bravo !



Montmartre de et avec Bruno Polyadès et avec Florence Muller
Polyadès j'aime. Ce mec a toujours le ton juste pour jouer le mec du quotidien qu'on est tous. Avec cette rencontre amoureuse insolite, il touche juste. Un film à la fosi drôle et prenant car on se retrouve dans les personnages.

Quai de Seine de Gurinder Chadha avec Leila Behkti et Cyril Descours
C'est clairement le court le plus candide. Gurinder Chadha auteur de Joue là comme Beckam et realisatrice du pas attendu Dallas signeun film assez niais. Les dialogues sont inspides mais malgré tout et grace notament à d'exellents jeunes comédiens, le film passe bien. Un plaidoyer pour la tolérance facile mais efficace

Le marais de Gus Van Sant avec Gaspard Ulliel, Marianne Faithfull et Elias Mc Monnel
J'attendais beaucoup du court de Gus Van Sant car c'est l'un des réalisateurs les plsu prestigieux de la liste. Mais pourtant, son court n'a rien d'extraordinaire. Un scénario très leger, aucune recherche artistique j'ai trouvé son court assez insignifiant. Dommage pour Gaspard Ulliel encore une fois exellent. Mais reste une chute sympa et 5 minutes agreables.

Tuileries des frères Cohen avec Steve Busemi, Axel Kiener et Julie Bataille
Les fères Cohen ont reussi leur court ! De loin le court metrage le plus drôle du film. Steve Buscemi est grandiose dans son rôle de toursite victime dans le metro. Le tout est caricatural, bien joué et très drôle ! Les Cohen qui tombent ces temps ci dans le remake facile livre là un film exellent, hilarant, une pure merveille !

Loin du 16ème de Walter Salles avec Cataline Sandino Moreno
Surement le court le plus politique du film. Walter Salles livre de façon intelligente une critique sociale. La belle Catalina Sandino Moreno confirme qu'elle fait partie des meilleures jeunes actrice et la mise en scéne est plutot bonne. Cela dit venant de Wlater Salles un Peut mieux faire s'impose

Porte de Choisy de Christopher Doyle avec Li Xin et Barbet Shroeder
Surement le court le plus deconcertant et le plus recherché artistiquement. Christopher Doyle est un des plus grands directeur photos du monde. Il a autant travaillé avec Wong Kar Wai que Shylaman. Son film deconcerte mais envoute par sa maitrise. Scénario surprenant, mise en scéne de génie et final sublime, un film qui bouscule et fascine !

Bastille de Isabel Coixet avec Sergio Castillo, Javier Camara et Miranda Richardson
Le court qui montre le mieux l'amour est je pense celui là. Sergio Castillo prouve ses talents d'acteur et grace à un récit rondement mené nosu livre l'histoire d'amour la plus touchante et la plus interessante. Superbe scénario et film très touchant.

Place des Victoires de Nobuhiro Sawa avec Juliette Binoche, Hypollite Girardot, Martin Combes et Willem Deffoe
Si ce court bénéficie du plus beau casting de tous, c'est celui qui m'a le moins plu. Trop métaphorique, trop sublimé, trop intello bref cette belle reflexion sur le deuil ne m'a pas touché. Dommage car cela semblait bon... A revoir peut être

Tour Eiffel de Sylvain Chomet avec Paul Putner et Yolande Moreau
Sylvain Chomet s'est fait un nom grace aux triplettes de Belleville. C'est donc ses premiers pas dans le cinéma traditionnel. Et il livre un petit bijou. En prenant comme protagonistes des mimes, il nous fait rentrer dans un univers enjoué, un univers proche de l'animation. Drôle et touchant ce film est le plus original, le plus enfantin et celui qui offre le plus beau sourire !

Parc Monceau d'Alfonso Cuaron avec Nick Nolte, Ludivine Sagnier et Sara Martins
Là aussi j'ai adoré ce court metrage. Porté par un Nick Nolte aussi irressistible qu'à son habitude et à une Ludivine Sangier toujours aussi bonne, ce court intelligent et surprenant nous balade et nous skotche de par son final. Un simple dialogue entre 2 personnes mais fait avec une telle intelligence et par de si bons acteurs qu'on ne peut qu'en redemander. Vraiment exellent

Quartier des enfants rouges d'Olivier Assyas avec Lionel Dray et Maggie Gyllenhall
Là aussi ce court ne m'a pas emballé. Sujet peu passionant, ni l'amour ni aucun sentiment ne sont sortis de ce film. L'histoire n'est pas interessante et j'ai vraiment été déçu par ce cru d'Assayas. Surement celui qui m'a le moins plu

Place des fêtes d'Olivier Shmitz avec Aissa Maiga et Seydou Boro
Si l'histoire de base est banale, une histoire d'amour effiace, Oliver Shmitz, realisateur sud africain que je decouvre, la traite de façon vraiment brillante. Le scénario est sublimé par son traitement, l'histoire est touchante et intelligente, les acteurs sont magnifiques, surtout Seydou Boro un malien qui mérite d'être connu. Quant à Aissa Maiga c'est vraiment mon coup de coeur, ma révélation du moment. Bref un film à la fois grave et emouvant, un film magnifique.

Pigalle de Richard Lagravenese avec Fanny Ardant et Bob Hoskins
La grande Fanny Ardant face à l'exellent Bob Hoskins, dans le duo amoureux le plus touchant, le plus amusant et le plus emouvant de ce film. Un récit qui surpend et emeut, des acteurs qui s'en donne à coeur joie notament Bob Hoskins toujours aussi bon, bref ce Pigalle est vraiment grandiose et ce couple vraiment genial

Quartier de la Madeleine de Vicenzo Natali avec Elijah Wood et Olga Kuryelo
Sur le plan artisique c'est clairement la plus grande reussite du film. Un film au visuel bluffant, au scénario prenant et porté par un Elijah Wood qui se bonifie vraiment avec le temps. Le realisateur auteur du grandiose Cube signe un des films les plus marquants, se demarque par son originalité et s'impose comme un film genial

Père Lachaise de Wes Craven avec Rufus Sewell et Emily Mortimer
Il n'y a pas que les rencontres amoureuses dans ce film, il ya aussi les crises de couples. Et Wes Craven que je suis surprise de voir dans ce registre signe un film simple, mais touchant et prenant sur un couple en crise en plein cimetière du Père Lachaise. Si le problème du protagoniste est qu'il ne rit pas, ce n'est pas le cas de Wes Craven qui nous fait rire et nous emeut avec ce film

Faubourg St Denis de Tom Tyker avec Natalie Portman et Melchior Belson
Je sais que je me répéte mais là c'est encore une fois exellent. Un récit intelligent, une vraie reflexion sur l'usure du couple, sur les rencontres, sur l'amour naissant et l'amour mourrant et le tout en moins de 5 minutes ! Un coup de maitre bien aidé par un scénario grandiose, une realisation exellente et une Natalie Portman aussi fraiche que Melchior Belson s'impose comme une des grandes révélations de ce film

Quartier latin de Frédéric Auburtin et Gérard Depardieu avec Gena Rowlands, Ben Gazzara et Gérard Depardieu
Beau film aussi que ce lui ci, le seul qui n'est pas été écrit par ses realisateurs mais par Gena Rowlands. Les retrouvailles d'un couple sur le point de divorcer. Réglement de compte avec le sourire, nostalgie et aussi amour rythment ce film très drôle et très bien interprétés. Un petit bijou magnifiquement écrit.

14ème arrondissement d'Alexander Payne avec Margo Martindale
On dit toujours le meilleur pour la fin. Et bien c'est une fois de plus vrai ici. Alexander Payne impose une nouvelle fois sa patte. L'auteur du grandiose Sideways livre avec son portrait d'une touriste etasunienne à Paris, le plus beau portrait de la ville. Mais aussi de l'amour. Cette femme qui parle avec un français apporximatif et nous narre avec humour son sejour nous fait vivre 5 minutes de pur bonheur. Rire et emotion grace à ce personnage ultra attachant qui nous font terminer en disant à Paris que oui, on l'aime cette ville.

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Annoncé depuis un petit moment dans la presse, la sortie de ce "Paris je t'aime" était donc un petit évènement attendu. D'autant qu'après un passage assez médiatique à Cannes, le film avait dans sa poche une grande partie de la critique. J'entre donc dans la salle, accompagné comme souvent du petit Kiki, compagnon de fortunes et d’infortunes cinématographiques. Et là, sans le savoir encore, nous étions partis pour deux heures d'un ennui profond!!! Chronique du premier film descendu sur ce blog.

"Mademoiselle, voulez-vous prendre un café avec moi? juste un café?"

L'idée de départ était pourtant bonne. Réunir le gratin cinématographique mondial pour célébrer l'amour et Paris à travers une vingtaine de saynètes, le projet semblait prometteur. D'autant que sur le papier, les producteurs ont réussi à réunir du beau monde, aussi bien chez les réalisateurs (les frères Coen, Walter Salles, Wes Craven, Alexander Payne, Denis Podalydes ou encore Olivier Assayas) que chez les comédiens (Natalie Portman, Gena Rowlands, Nick Nolte, Ben Gazarra, William Defoe, Gérard Depardieu, Juliette Binoche...). Mais voilà, le problème de ce genre de pari, c'est que chaque saynète a peu de temps (elles ont toutes été réalisées en deux jours et deux nuits) pour être développé et mettre en place une histoire et un univers un peu spécifiques, et des personnages. Et comme l'ensemble doit rester cohérent, et sur le même thème, on sombre souvent dans les clichés et la carte postale très niaise façon Amélie Poulain. Paris est toujours symbolisé par les mêmes choses: la Tour Eiffel, la Joconde, Montmartre (seuls "Place des fêtes" et "14ème arrondissement" sortent un peu des sentiers battus en découvrant des lieux moins touristiques)... Les mentalités n'évoluent pas, et ce spectacle sent fort la carte postale typique de Paris que l'Office de tourisme Parisien pourra vendre aux Américains et aux Asiatiques.














Ben Gazzara, Gérard Depardieu et Gena Rowlands. Victoires International

"Elle criait, des fois à raison, des fois sans raison"

Le deuxième point négatif à mon sens, c'est le manque de qualité scénaristique de ces courts métrages. Certes, les réalisateurs se voient offrir un laps de temps très court pour réaliser leur saynète, mais à quoi bon réunir autant de talents si c'est pour produire des courts métrages aussi formatés, d'une platitude et d'une niaiserie désolantes. Si certains sortent du lot et arrivent à produire des oeuvres très personnelles et originales, c'est notamment le cas de "Tour Eiffel" et de ses mimes, réalisé par le metteur en scène des « Triplettes de Belleville », l'ensemble reste quand même ras des pâquerettes. Nous assistons ainsi à des spectacles inégaux, allant du pas terrible, comme « Montmartre », « Quartier des enfants rouges », « Pigalle », ou « Quartier latin », au plus mauvais (qui sont les plus clichés et sans saveurs), comme « Parc Monceau », « Place des victoires », « Père Lachaise », ou encore « Loin du 16ème », la palme du plus spectacle le plus phénoménalement absurde et ridicule revenant de loin à « Porte de Choisy ». Au milieu de ça, quelques segments émergent, aussi bien par leur originalité (« Tour Eiffel », « Quartier de la Madeleine »), que par l’émotion qu’ils arrivent à dégager en si peu de temps par l’originalité de leurs thèmes, comme « Place des fêtes », « Bastille », ou « 14ème arrondissement ».

Elijah Wood. Victoires International

 

Les réalisateurs se démarquent également les uns des autres par la forme qu’ils donnent à leur segment. Là encore, on va du moins heureux comme « Parc Monceau » qui est le seul à avoir été tourné en plan séquence, aux plus réussis comme « Bastille », muet avec une voix off qui raconte l’histoire et les sentiments des personnages à l’écran, ou « Quartier de la Madeleine », pour lequel Vincenzo Natali utilise approximativement le même procédé que pour « Sin City », à savoir un noir et blanc stylisé, où seul le rouge du sang ressort. Mais dans l’ensemble, la créativité visuelle a été laissée aux oubliettes.

« Vous prenez combien pour regarder ? »

L’interprétation n’est pas non plus toujours au rendez-vous, comme on était en droit de l’attendre devant une telle distribution. Bien sûr, il y a toujours les valeurs sûres qui survolent aisément l’ensemble, comme Gena Rowlands et Ben Gazzara, qui forment un magnifique couple que la vie a éloigné, ou Fanny Ardant et Bob Hoskins, qui forment un couple moins crédible, mais dont le jeu savoureux assure largement le spectacle. Même chose avec Sergio Castellitto. Et puis il y a aussi la relève des jeunes acteurs qui tient bien la route, emmenés par l’excellent Elijah Wood, et la toujours aussi charmante Natalie Portman, auxquels se joignent les Gaspard Ulliel, Cyril Descours, ou Maggie Gyllenhaal. Enfin, nous pouvons citer les quasi inconnus qui brillent comme Seydou Boro ou Margo Martindale (une des rares non francophones à faire l’effort de jouer en français avec Maggie Gyllenhaal). Mais tous ne tiennent pas la route comme il se doit. La palme du jeu le plus terne revenant à notre Juliette Binoche nationale, aussi émouvante qu’un peigne, et au jeu subtil comme une brique. Dans sa lignée, les Steve Buscemi, Willem Dafoe, Ludivine Sagnier, ou Nick Nolte, sont totalement à côté de leurs pompes.

Natalie Portman et Melchior Beslon. Victoires International

A la sortie, il reste un film beaucoup trop long, dont la succession de saynètes laisse place à un vrai mal de tête, et qui semble un peu brouillon du fait qu’aucune de ces histoires n’a le temps d’être développée réellement. De même, il reste une grande déception tant la réunion de tout ces talents et tant l’idée de base de ce film laissaient présager une œuvre vraiment originale et de qualité. Quelques-uns de ces segments laissent ainsi un bon arrière goût, loin des grands crus, mais agréables tout de même, les autres, bâclés pour la plupart, sont trop niais ou prévisibles pour interpeller positivement les spectateurs. Et cette vision de ce Paris de carte postale complètement désuet, qui avait déjà rendu insupportable « Le fabuleux destin d’Amélie Poulain », est encore ici trop présent et écœurant. Une grosse déception.











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http://cinefan2006.skyrock.com/
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    Grâce (Léa) 發表在 痞客邦 留言(2) 人氣()


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